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Les Sisyphe - Presse

Libération – Mai 2007 - Marie-Christine Vernay,

«(...) Autre grand plaisir offert par Julie Nioche, à l’espace 1789 à St Ouen, « Les Sisyphe x 10 », met en scène des collégiens et des lycéens forts bien encadrés par la chorégraphe, ils ne succombent ni à la performance pure, ni à l’égocentrisme. « Que représente pour vous un groupe d’adolescent en résistance ensemble ? ». Le spectacle répond parfaitement à cette question. Les élèves ont tous investi le projet commun. Comme quoi, il n’y a pas que les urnes pour s’exprimer. (...)»

Le courrier de Russie - Marie Gouelleu, juillet 2008

Inventifs et Engagés
Interview de Loïc Touzé et Julie Nioche, des professeurs de danse français à Moscou.
Du 14 juillet au 2 août, les Russes retrouveront le chemin de l’école. Devoirs de vacances : danse contemporaine. Créée en 2001, l’Ecole d’été TsEKh vise à fournir aux danseurs professionnels et aux amateurs des techniques contemporaines de développement du corps. Invités à animer un atelier, les chorégraphes français Julie Nioche et Loïc Touzé expliquent au Courrier de Russie comment la danse aide à vivre.

La Voix du Nord - V.B., 9 avril 2010

On est ressortis sonnés de la « générale ». Les Sisyphes par la troupe de l’Oiseau-Mouche, c’est du concentré intense, une prestation de seulement vingt minutes qui vous laisse pantois. Quelles que soient leurs difficultés, leur handicap, leur morphologie, tous les comédiens déploient la même énergie, entraînés les uns par les autres, dans un élan survitaminé, pour livrer une performance physique singulière d’une remarquable homogénéité.

Le projet Sisyphe - Enora Rivère, août 2007
Histoires de projets
La Sisyphe est dans sa première forme un diptyque, conçu en 2003, constitué de deux soli dansés par un homme et une femme, comme deux propositions d’épreuves de la solitude face à la pure
dépense performative régie par l’exécution d’une seule et même tâche.
La Sisyphe donc et non Sisyphe du nom du personnage mythique, comme un nom commun, une désacralisation, une simple figure de démonstration, un pronom personnel que chacun peut s’approprier où dans lequel chacun peut se projeter.
Questions-réponses sur le projet d’atelier "Sisyphe" - Julie Nioche et Gabrielle Mallet, mai 2006
Pourquoi rapprocher une pratique de danse et une pratique de kinésithérapie?
Ce rapprochement permet de délocaliser aussi bien les codes de la pratique de danse que ceux du soin thérapeutique. Ce double déplacement de la danse d’un côté et de la kinésithérapie de l’autre change les buts à atteindre. Il ne s’agit donc plus de devenir performatif comme il est attendu d’un danseur ni d’obtenir la réalisation de gestes utiles comme il est souhaité avec un patient. L’atelier se centre sur la qualité des mouvements et la façon dont le sujet les investit avec son imaginaire.
La Terrasse - Marie Chavanieux, mai 2007
L’union, 11 mars 2011
L’union, octobre 2010
Lisbonne, Blog - juin 2006